Eugénie Bastié tente de réhabiliter Pierre-Edouard Stérin: un "bon père de famille", "plus boy-scout que requin de la finance", qui "benchmark" sa foi en remplissant des tableaux Excel. Il trouve Marine Le Pen "trop timide sur l'immigration, écrit-elle dans Le Figaro, accusant la gauche de le diaboliser. Il le fait très bien tout seul... Lui se souvient gamin de la victoire de Mitterrand en 81: "À la maison tout le monde pleurait". Une caricature.